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romans policiers - Page 21

  • Citation du jour

    Je suis censée m'atteler à un roman policier mais, succombant à la tentation naturelle de l'écrivain d'écrire tout sauf ce dont il est convenu, me voilà prise du désir inattendu de rédiger mon autobiographie.

    Agatha Christie

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  • Nos invités 2019 : Jean-Michel Sieklucki

     
     
    Né le 19 septembre 1947 à Tours, études au Lycée Descartes à Tours. Fils, petit-fils et père d’avocat.
    Baccalauréat section philo en 1966. Etudes de Droit à Rennes, Tours et Poitiers. Service militaire en coopération en Côte d’Ivoire en 1972. Inscription au barreau de Tours en 1971 et carrière professionnelle jusqu’à fin 2011, date de la prise de retraite. Bâtonnier en 1983 et 1984.
    Professeur à l’Ecole du Centre-Ouest des Avocats à Poitiers de 1981 à 2011, en procédure pénale, déontologie et plaidoirie. Président du conseil d’administration de ladite école pendant deux ans. Titulaire de la spécialité en droit pénal.
    A plaidé en quarante années cent vingt dossiers criminels et quelques milliers de dossiers correctionnels.
     
     
    Livres présentés au salon : 
     
    La chute d’Adrien – roman dans lequel un avocat pénaliste vit diverses aventures judiciaires avant d’être lui-même incarcéré pour une infraction déontologique.
     
    La conscience de Joseph Bourganeuf – roman tiré d’un dossier criminel dans lequel Jean-Michel Sieklucki était en défense (affaire Revelli faits de 1975, procès de 1977)
     
    Le Diable et le Salut – roman dont l’action se situe en 1910 à Paris puis au bagne guyanais et qui fait revivre le voyage des forçats.
     
    Le temps des exigences – roman se passant à l’époque actuelle à Blois et dont le personnage principal est un gardien de prison débutant.
     
     

  • Citation du jour

    J'ai toujours eu l'envie, la nostalgie de pouvoir écrire des romans policiers. Ou des séries, comme faisait Georges Simenon, qui donnait un nouveau roman tous les mois. Au fond, les thèmes principaux des romans policiers sont proches de ceux qui m'obsèdent : la disparition, les problèmes d'identité, l'amnésie, le retour vers un passé énigmatique.
     
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    Patrick Modiano
     

  • Nos invités 2019 : Grégory Merleau

    Après dix années à parcourir le monde avec un spectacle original mêlant les arts martiaux à l’esprit du cabaret, Grégory Merleau se lance dans l’écriture et scénarise une BD humoristique (Gertrude Gardavue) en binôme avec Philippe Marin (le père de Bibi phoque). Il a ensuite été scénariste sur « Péplum (M6) » saison 1 et a participé aux ateliers d’écriture « scène de ménage (M6)».
     
    Il a coécrit une pièce de théâtre avec Julien Cafaro et Patrick Zard et travail sur le développement de plusieurs programmes télé en format 26 minutes. Il est actuellement en production avec son premier long métrage. (Gérard Darmon, Lolita Chammah…)
     
    Auteur de 3 polars à l’humour grinçant, il sortira deux autres romans en début d’année 2020…
     
    ses romans :
     
    24h pourries de la vie d'un tueur,
    L'éparpilleur,
    Maudits soient les prétentieux
     
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  • Nos invités 2019 : Gino Blandin

    Gino Blandin est un auteur de romans policiers et un historien. Il a aussi été foreur pétrolier et instituteur.
    Dans ses romans policiers, son héroïne récurrente, Julie Lantilly, une journaliste de la presse écrite, mène des enquêtes en Anjou, dans la région de Saumur. En tant qu'historien, Gino Blandin a écrit plusieurs ouvrages, entre autres une histoire de l'hôpital de Saumur, une histoire de la ville de la préhistoire à nos jours. Il est également l'auteur de nombreux articles parus dans diverses revues.
     
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    Ses romans mettent (presque tous) en scène les enquêtes de Julie Lantilly, journaliste à Saumur :
     
     
    De l'or sous les verrous de Fontevraud
    Mauvais plan au Puy-Notre-Dame
    Terminé Balzac !
    Ça grippe à Angers
    Meurtre au Cadre Noir
    Bons baisers de Saumur
    Trop mortel !
    Fenêt sur cour
    Les heures noires du duc de Berry
    Micmac au Bioparc
    Coup de boules
    Mort sur la Loire
    Saumur brutes
    Hirochinon mon amour
     

  • citation du jour

     

    Le polar va continuer de fonctionner plaisamment, pour les ferroviaires et les insomniaques que nous sommes tous à un moment ou l'autre.

     

    Jean-Patrick Manchette

  • Nos invités 2019 : Françoise Josse

    Une des rares auteurs de polars historiques à Polar sur Loire !

    Françoise Josse est née en 1951 dans la région parisienne. Elle a vécu en Allemagne, en Suisse et dans diverses villes françaises. Après des études d’allemand et d’anglais, elle a enseigné jusqu’en 2011. Pendant sa période d’activité, elle a principalement écrit des polars contemporains décalés. Depuis qu'elle est à la retraite, ell privilégie les polars mérovingiens dont l’action se situe au 6ème siècle. Dans les deux cas, elle a recours à des personnages récurrents.

    Ses romans :

    Dans la série « les enquêtes franques » :
    1) Tome 1 : La griffe du diable (Copymédia)
    2) Tome 2 : La maison ardente (Copymédia)
    3) Tome 3 : La roche féconde (Copymédia)
    4) Tome 4 : La Grande Pestilence (Copymédia)
    5) Tome 5 : la Route du Sel et de l’Ambre (Copymédia)
    6) Tome 6 : le matriculaire négligé (parution en octobre 2019)

    Dans la série « la loupe verte » :
    1) Le réveil en sursis (Publibook)
    2) Une carpe volubile (Copymédia)
    3) La pizza des quatre saisons (Copymédia). Ce livre existe aussi en version numérique.
    4) La grosse légume (Copymédia). Ce livre existe aussi en version numérique.
    5) La petite musique qui nuit (Copymédia)

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    (photo Nouvelle République)
  • Citation du jour

  • citation du jour

     

    Dans un mauvais roman policier, le coupable n'est jamais loin, c'est l'auteur.

     

    Robert Sabatier

     

     

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  • Nos invités 2019 : Eric Maravélias

     

    Éric Maravélias présente ainsi « La Faux soyeuse », série noire, Gallimard, paru cette année en poche :

    « La Faux Soyeuse est un roman noir, pas de doute. Très noir. Suivant la définition d’Aurélien Masson, le directeur de la mythique série noire, un roman noir se doit de respecter au moins trois critères. Un milieu, avec son langage et ses codes, des personnages vivants et attachants, et une intrigue.

    Pour le milieu, avec La Faux, on a la tête dans le sac. On est en banlieue, près de Paris, et au fil des 253 pages, le lecteur traverse deux décennies. La folie des années 80, les vols, les braquages, la belle vie, l’amour, et l’arrivée en masse de la dope dans les quartiers, la glissade et la chute irréversible de Franck, le héros, triste héros, racaille toxicomane au cœur tendre. C’est une odyssée, poignante et pathétique, dure et sans pitié. Pas de rédemption. Pas de pardon. Mais c’est aussi poétique et tendre, parce que ce sont des hommes et des femmes, comme vous, avec un cœur qui bat. Mais trop vite. Trop fort.

    Puis les années 90 et les ravages du Sida, la déchéance, la maladie, la mort.

    J’ai voulu, avec La Faux Soyeuse, porter un témoignage sur ce que fut ma vie. Ne vous y trompez pas, c’est un roman. Franck n’est pas moi et je ne suis pas lui. Mais ce qu’il a vécu, je l’ai vécu, moi aussi. En grande partie. C’est un roman qui s’adresse à tous, de tous âges et de toutes conditions. C’est ce qui se passe aux pieds de vos immeubles. C’est ce qui s’y est passé, en tout cas. Dans toute sa cruauté. Vous en avez entendu parler, mais jamais vous ne pénétrerez ce monde mieux qu’avec La Faux Soyeuse. Et sans danger pour vous, sinon celui d’être hantés par ces hommes et ces femmes.

    Vous allez les aimer. Malgré tout. Malgré leurs vices et leur laideur. Malgré leur langage et leurs esprits tordus. C’est ce que je veux.

    C’était mes potos. Nous étions des enfants.

    Les personnages : Ils sont là, et ils vous balancent ce qu’ils sont au visage, sans honte. Le bon comme le mauvais. Et leur folie vous capture. Leurs démons vous pénètrent.

    L’intrigue : Elle est simple, affreusement simple, horriblement simple. Pathétiquement simple. Mais elle est l’enchaînement, le destin, qui vous prend et vous pousse irrémédiablement vers la fosse. De violences en cris, en trahisons. D’amertume en amertume, il vous entraîne dans le chaos, sans répit.

    Dans ce roman, pour ce qui est du style, j’avais comme une obsession. Unir Edward Bunker et James Lee Burke. Mes deux auteurs fétiches depuis toujours. Le style au scalpel de la rue, son langage cru, direct, et la poésie de Burke dans les descriptions de l’environnement. C’était presque inconscient, au début, et puis cette évidence m’a sauté aux yeux. C’est comme ça que je voulais écrire. C’est comme ça que j’écrivais déjà. J’ai travaillé dans ce sens.

    La Faux Soyeuse est là, maintenant. »

     

    Ses romans dans la Série noire Gallimard :

    La faux soyeuse
    Au nom du père

    https://www.tmvtours.fr/ar…/eric-maravelias-au-bout-du-noir…

    Eric Maravélias est l'inventeur d'un prix littéraire inédit: "Le trophée Anonym'us" décerné uniquement par les lecteurs internautes.

    TMVTOURS.FR
     
    Dans son deuxième roman, Au nom du père, paru en février dans la Série noire, Éric Maravélias décrit la société telle qu’il la voit. Une fable pessimiste et onirique.